| A 2h20 de Paris en TGV, la capitale mondiale de la géographie saura vous séduire. Capitale du Massif Vosgien, située aux portes de l'Alsace, Saint-Dié-des-Vosges est classée ville touristique depuis 1998, elle possède un patrimoine historique de 4000 ans, ainsi que des richesses naturelles remarquables. Ses quatre massifs forestiers, le Kemberg, l'Ormont, la Madeleine et la Bure, vous offrent 380 km de sentiers de randonnées. D'Amerigo Vespucci à Georges Braque, de Jules Ferry à Le Corbusier, laissez-vous porter par son histoire... |
La cathédrale Saint-Dié de Saint-Dié-des-Vosges est une cathédrale catholique romaine. Elle forme avec l'église Notre-Dame de Galilée et le cloître qui les relie, un ensemble architectural remarquable, véritable groupe cathédral, riche d'apports successifs et de styles différents, mais unifié par une couleur caractéristique, celle du grès rose des Vosges. Construite au 7ème siècle par le moine irlandais Déodat, cette ancienne abbatiale fut élevée au rang de cathédrale en 1777. L'édifice présente une belle façade classique agrémentée d'un fronton triangulaire et entourée de deux imposantes tours carrées datant du 18ème
Ce charmant musée présente de nombreuses collections thématiques abordant l'histoire et la culture locale de manière éclectique. Diverses pièces extraites de fouilles évoquent l'archéologie gallo- romaine ; les Beaux- Arts et les arts décoratifs.
Collections permanentes
La Déodatie, terre de conflits et d’échanges • Archéologie antique : Pierre d’Appel, Bure, Fossottes • De Déodat à la Révolution (en cours de réalisation) • Collection militaire "De la Patrie en danger à la Seconde Guerre mondiale" • Les écrivains Claire et Yvan Goll (né à Saint-Dié-des-Vosges en 1891) • L'homme d’Etat Jules Ferry (né à Saint-Dié-des-Vosges en 1832) : de l’Instruction publique à la "ligne bleue des Vosges" • Le Corbusier et Saint-Dié-des-Vosges.
La Déodatie, terroir naturel et socio-économique • Ornithologie, grande faune, forêt vosgienne • Métiers d’autrefois désignés aussi par "arts et traditions populaires" ou ATP.
La Déodatie, une rencontre avec les arts • Arts décoratifs, en particulier faïenceries de Raon-l’Etape et cailloutage de Gérardmer • Beaux-Arts : artistes célèbres de notre secteur : Augustin, Français, Lurçat, Bertholin • Collection Goll : Léger, Chagall • Non-figuration autour des vitraux de la cathédrale : Bazaine, Manessier, Le Moal...
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Ce sont 52 bijoux emblématiques (figures, poissons, oiseaux) placés sous le signe de la mythologie grecque.
La tour de la liberté est un monument de Saint-Dié-des-Vosges, ressemblant à un grand oiseau blanc posé au milieu du parc Mansuy. Elle symbolise la recherche de tous les peuples, la liberté.
Érigée au Jardin des Tuileries en 1989 pour célébrer le bicentenaire de la Révolution, cette tour fut transférée à Saint- Dié- des- Vosges en 1990. La tour ressemble à un grand oiseau de métal blanc qui tend fièrement ses ailes vers le ciel, entouré d'un écran de verdure au cœur même de la ville. Haute de 36 mètres et d'un poids de 1440 tonnes, elle a ses fans et ses détracteurs. Du belvédère, les touristes peuvent admirer le paysage et la fameuse ligne bleue des Vosges immortalisée par Jules Ferry. La tour est faite principalement d'acier, de toile et de verre.
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Site de hauteur installé sur un promontoire en grès, le camp celtique de la Bure, appelé « camp des Romains » par les populations paysannes d'autrefois, est un lieu d'observation remarquable des environs ou un point éminemment visible s'il est dénudé de couverture végétale. Il dominait la via salinatorum, ou voie des Saulniers, qui passait au nord en ligne droite d'Étival à Saales. Une statue d'un Jupiter à l'anguipède, sur un socle monumental, pouvait constituer une balise symbolique ou un phare allumé pour orienter le voyageur. Sur trois hectares, le camp celtique de la Bure présente les traces d'une présence humaine remontant aux environs de l'an 2000 avant JC
La commune occupe la haute et étroite vallée de la Morte, un affluent gauche de la Fave. Elle culmine au Rossberg. Le relief a motivé la dispersion du peuplement en plusieurs hameaux, la Behouille, le Chipal, les Grandes Gouttes et Sadey étant les principaux. L'origine du village remonterait à l'arrivée de Déodat dans le Val de Galilée ; il n'y eut probablement qu'une cellule bâtie par un disciple du saint homme. Le village s'éleva vraisemblablement à proximité. Les mines d'argent, de cuivre et de mercure ont été exploitées dès le Xe siècle au bénéfice des monastères de Moyenmoutier et de Saint-Dié. Les trois principales exploitations se nommaient Saint-Nicolas, Saint-Jean et Chipal. Les mines semblent avoir été laissées plus ou moins à l'abandon après 1670, les fermiers du roi n'y trouvant plus leur compte.
Les Mines
A La Croix aux Mines Gisement probablement découvert au IXe siècle et exploité pendant plus de mille ans, arrêté en 1948.
Contact : Association pour la Sauvegarde des Mines d'Argent de la Croix aux Mines
88520 LA CROIX AUX MINES
Tél : 03 29 57 37 31
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Confiserie des Hautes Vosges
Visite
guidée, commentée et gratuite (environ 1 heure) avec dégustations et
possibilité d'achats au magasin.
Tous les jours de 10H00 à 12H00 et de 14H00 à 18H00 (sauf dimanche et jours
fériés).
Accessibilité aux personnes à mobilité réduite